
L'égalité pour les femmes n'est pas chose acquise. L'impact sexiste des mesures d'austérité dont les coupes dans les services publics, les multiples violences contre les femmes et notamment les femmes autochtones, l'inéquité salariale pour de nombreuses femmes, la privatisation des services de garde éducatifs, la discrimination systémique en emploi qui perdure pour toutes les femmes et en particulier pour celles qui sont racisées ou en situation de handicap, le mythe de l'égalité déjà-là: la liste des barrières qui s'érigent devant les femmes semble s'allonger à l'infini. N'oublions pas que la force du mouvement féministe réside dans sa capacité de lutter pour que disparaissent toutes les barrières qui nous freinent. Notre objectif: l'égalité sans limites… d'où le signe de l'infini en forme de 8.
Encore en 2017, nous luttons pour que tombent les barrières qui font obstacle à l'égalité entre les femmes et les hommes, entre les femmes elles-mêmes, et entre les peuples.
Nous sommes féministes et dans notre diversité, nous devons oeuvrer ensemble à un monde plus juste pour toutes les femmes.

La liberté syndicale pourrait être mise en veilleuse en Argentine suite aux menaces de mort reçues par Roberto Baradel, Secrétaire Général du SUTEBA, pour avoir défendu les droits des travailleurs/euses de l'éducation.
L'IE a été informée par son membre en Argentine, la Confederación de Trabajadores de la Educación de la República Argentina (CTERA) de menaces anonymes reçues par Roberto Baradel, Secrétaire Général du Sindicato Unificado de Trabajadores de la Educación de Buenos Aires (SUTEBA) et Secrétaire administratif de la CTERA.

Faut-il arrimer l'éducation avec les besoins des entreprises? Discussion avec Jacques Létourneau de la CSN et Martine Hébert de la FCEI.

Avec le soutien total de leurs syndicats, les enseignant(e)s du primaire et du secondaire de tout le pays se sont rassemblé(e)s pour demander au gouvernement de garantir une éducation de qualité pour tou(te)s les étudiant(e)s de Tunisie. Le 12 janvier, des enseignant(e)s du primaire et du secondaire tunisien(ne)s se sont réunis devant le ministère de l'Éducation pour demander la démission du ministre de l'Éducation et une réforme éducative réussie. Cette mobilisation faisait suite à leur grève générale du 5 janvier, qui a elle-même clôturé une série d'actions syndicales visant à assurer une éducation de qualité pour tou(te)s.

Le nouveau Rapport mondial de Human Rights Watch, qui se penche sur l'enseignement secondaire des enfants en situation d'urgence, appelle les organisations humanitaires et les bailleurs de fonds à garantir l'accès à l'éducation des adolescent(e)s réfugié(e)s, quel que soit l'endroit où ils/elles se trouvent. Ce Rapport mondial révèle que chaque jour en 2015, près de 17 000 enfants ont dû fuir leur maison en raison des persécutions et des conflits. Si l'accès à l'éducation joue un rôle capital dans le bien-être physique et émotionnel des enfants, il s'apparente à une chimère pour ceux qui vivent en situation d'urgence.

Le 65e Congrès de la CSN se tiendra du 5 au 9 juin 2017. Il faut se rappeler que le congrès est l'instance la plus large de la CSN et réunit chacun des 2000 syndicats, des treize conseils centraux et des huit fédérations. Ce sont ces déléguées et délégués qui discuteront et qui détermineront les revendications de la CSN pour les trois années qui suivent.
Si le gouvernement du Québec respecte la Loi électorale qui établit des élections à date fixe, le prochain mandat de la CSN (2017–2020) sera ponctué d'une élection provinciale qui devrait se tenir le 1er octobre 2018.
Au cours des deux dernières années, les militantes et les militants de la CSN sont, à maintes reprises, descendus dans la rue ou ont manifesté devant leur lieu de travail pour dénoncer les mesures d’austérité du gouvernement Couillard.